4 avril 2009
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/2009
02:37
Il m'a fait mal...
Ce monsieur qui savait
savait qu'il me blessait,
il m'a fait mal...
Une main bien trop grande
tremble à me caresser,
et quand ses doigts descendent
et ses mots me calmer...
J'ai peur et ne sais pas
si ma douleur se voit,
si la peur de sa voix
calmera ce lourd doigt...
Il m'a dit mal...
Ce monsieur qui bavait
savait qu'il violait,
qu'il m'a fait mal...
Et si je n'oublie pas
si je n'oublie jamais
le geste s'estompa,
D'un crime proclamé...
Le sang reste le mien
la douleur est en moi,
le ciel bleu n'est pas bien,
sans le noir de la foi...
J'ai mal
D'un crime
bestial
d'abîme...
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MOTS D'AUJOURD'HUI...
4 avril 2009
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01:33
Bonsoir ma vieille ! désolé d'être vieux,
petit diminué, à ne savoir que faire.
et plus rien à te faire
si ce n'est un bisou, content d'être vivant
et de gagner ce jour...
le carré cimetière
se creuse un peu pour nous,
nous laissant attendant
à n'être plus toujours...
Bonsoir ma vieille !
désolé d'être vieux,
petit diminué, à ne savoir que faire.
notre vie est derrière
plus rien ne sera fou,
et puis les nuit pleurant
ce dernier contre jour...
mille et un souvenirs
sont dans le temps tremblant
avant dernier soupir
avant dernier semblant...
Bonsoir ma vieille !
désolé d'être vieux,
petit diminué, à ne savoir que faire.
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DARBOWSKI et moi !
27 mars 2009
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02:45
Pourquoi as-tu jeté
l'eau du bain et bébé ?
Sans lui nous sommes un
et puis plus rien soudain...
Il était tout à nous !
Et nos vies se dénouent
de cet enfant perdu,
de nos choix retordus...
Cet enfant aurait l'age
du temps de notre amour
il n'est que cailloutage
sans jamais nos toujours..
.
Et te voilà partie,
moi, personne, amoureux,
ce petit bout de vie
à peine aventureux,
qui peuple nos rêves
que l'age nous enlêve...
Et ce petit jeté,
qui pouvait être mien
que nous avons créé
pour un tout petit rien...
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MOTS D'AUJOURD'HUI...
21 mars 2009
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01:39
Qu'est ce donc qu'un soupçon ? Petit morceau de rien, quelques courts qui font long, quelques gouttes ou des grains... Qu'est ce donc qu'un soupçon ? Le ferment d'une idée d'un doute si profond qui tuera tout entier... Petite tache noire qui salit une vie, ouvrant la sale foire d'un marché de l'envie... Qu'est ce donc qu'un soupçon ? Si ce n'est le coin fort, si ce n'est le poison qui distille la mort ? Fais moi ne pas douter, n'avoir aucun remord, et jamais le regret, que tu me sois moint tort... L'éponge du je t'aime efface le soupçon et les eaux de l'extrème noient toute déraison...
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11 mars 2009
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02:01
La faillite des purs,
née de timidité,
rend le pouvoir aux durs
alors qu'ils le perdaient...
L'empire mécréant
enfantant la douleur
restera l'artisan
forgeant mort du bonheur...
Moi, fou, reste joyeux
riant aux vents mauvais
s'exaltant d'être heureux
et vibrant du bien fait...
Le bonheur incertain
a sa source au milieu,
même si le malin
fait semblant d'être un dieu...
Qui du bien ou du mal
sera vainqueur de vie ?
Qui conduira le bal
de l'amour ou d'envie ?
11.3.09
JYB
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10 mars 2009
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02:54
en rires !
Marre mots
d'enfants criés,
Mots d'Este
mots rabaissés ;
Mots tifs
bonnes raisons
coupées en quatre ?
Mots quais
par un bon mot
mot laid
sale et galbé,
mots mis
sous le sable gisé...
Jus de mots,
cocktails
recette d'un sot
volé en e-mail ;
ensemble d'hasards.
rassemblés en retard...
Mot, râle, colère bien élevée ; petit ordre caporal pour une générale... et puis un testamot en mots delà, en mots dire, derniers mots.... il y a court de la mort à son mot... mais j'ai toujours le rêve d'être beau. et d'être là encore pour d'autres rendez-vous chassant les désaccords pour qu'enfin nous, soient vous !
souvenir
de sourires...
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10 mars 2009
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/2009
02:53
PARIS D'EN RIRE !
Dans ton mirage
au sort,
mon tour est frèle.
Je connais ton Manège,
ton Carroussel ;
j'attends qu'il ouvre.
A quai,
j'attends l'Horloge...
La mArque de Triomphe,
à la place des Victoires,
ne sera pas.
mais la place de ton Etoile
sera en moi...
Place de Grèves
me prépare
le sien supplice,
juste après le pardon
des Saints Pères...
s'arrête l'envie
rue de la Grande
Truanderie...
et près de là,
pleure la Fontaine
des Innocents.
mais les larmes
de Madeleine
partent au vent d'homme.
petites choses
pendant que d'autres
rèvent de Bastille,
de refaire la Nation
au feu du canon.
reviennent
les Invalides
de Stalingrad
Gare à moi
qu'Austerlitz
soit Waterloo.
malgré la Grande Armée
Et le pont neuf
vieillit encore...
le pont marie
aussi.
Et ma craie
coeur de Montmartre
laisse Lamarck
de mes nostalgies...
Petit bistro dont
je perds la chaise
et Catacombes
par terre...
Je quitte la Seine
côté jardin
des Tuileries
le rêve me pince
et je m'en vais,
vers la province,
au vent mauvais...
sourire d'hier
sourire encore...
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1 mars 2009
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/2009
01:29
Et tu ne me dis rien
à moins de m'inventer
ce qui nous fait si bien
de dire et chanter.
Et je ne te dis rien
à moins de raconter
les lambeaux du lien
à dire et te livrer....
Les présents n'ont pas vu,
à lancer leurs idées,
l'entendant s'est perdu,
à ne dire pensées...
Et ces drôles jouets
perdus ou bien cassés
petits bois décloués
de quelques fers rouillés....
Que nous reste perdu
le pouvoir imprévu
qui revient au matin
sans le dire à mon rien....
JY 0/03/2009
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28 février 2009
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23:50
Que je meure, à l'instant ! et qu'un éclair vivant me laisse vous dire sans jamais engourdir... Que je parte malade en dernière balade en un geste perdu en instant éperdu... Que je meure à l'instant, à l'instant attristant, pour une fin choisie avant que trop moisi... Et l'on dira dommage, d'incertain rallumage, et l'on dira trop tard avant juste bagnard... Que je meure soudain à ne jamais rien dire perdu dans le jardin d'un dernier applaudir...
jyb 28/2/2009
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CE SITE EST INTERACTIF !!!
28 février 2009
6
28
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/février
/2009
23:34
Maintenant tu m'oublies
et tout le verbe aimer
récité à l'envie
comme si, comme était...
Tu reprends liberté,
prisionnière asservie
comme si tu étais
D'un monde qui survit...
Tu me quittes, héroïque
salissant nos ennuis
fracturée mosaïque
d'un sentiment détruit...
Et j'embrasse le vent
de celle qui partie
au futur captivant
d'un présent averti...
Maintenat tu oublies
tout petit mot d'aimer
chanté ou que je crie
comme si, comme aimé...
JYB
28/2/09
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